Le guitariste mêle à ses habituelles mélodies des enregistrements d’intempéries et des flashes radiophoniques d’urgence.
Daniel Bachman : « Nous devons travailler avec la pluie, le vent et la puissance terrifiante de la Terre »

Le guitariste mêle à ses habituelles mélodies des enregistrements d’intempéries et des flashes radiophoniques d’urgence.
Le groupe de Seattle revient avec un nouvel album passablement énervé, « Plastic Eternity ».
La soprano est récompensée pour un recueil de mélodies enregistré en compagnie du pianiste Yannick Nézet-Séguin et intitulé « Voice of Nature: The Anthropocene ».
Qu’elles soient chantées par Pinegrove, Hozier, Snag ou Soccer Mommy, des milliers de jeunes écoutent régulièrement des chansons qui traitent du désastre climatique en cours. Et si, de façon paradoxale, ces chansons démoralisantes leur donnaient des raisons d’espérer ?
Loin des grands espaces, ce formidable disque de country-rock interroge la proximité, cherchant et trouvant dans l’environnement le plus immédiat une constellation de mondes merveilleux…
Le nouvel album de Shearwater est plus ouvert que les précédents. Le chanteur du groupe texan donne ici quelques-unes des clés d’un disque magnétique…
Le groupe annonce pour le mois de juin un nouvel album inspiré des errances de son chanteur dans la nature…
Sa pièce « Vox Balaenae » devait être jouée sous une lumière bleutée et ses trois interprètes devaient arborer un masque, pour symboliser « les visages puissants et impersonnels de la nature ».
Sur son nouvel album, « Pacifica Koral Reef », le trompettiste de 80 ans explore avec deux guitaristes une barrière de corail mentale.
« Before the water gets too high », « Plant life »… Zoom sur le rock percutant et militant de ces New Yorkais.
Dans la ville de Rural Retreat, Doran a enregistré un disque buissonnier, composé d’originaux qui sonnent comme des airs traditionnels des Appalaches ou d’Europe de l’est.
Bon Iver, Mount Kimbie, Jorja Smith, the 1975, Grimes… De nombreux musiciens ont préparé des installations pour l’exposition « Undercurrent » à Brooklyn.
Antonín Dvořák s’est inspiré d’un oiseau pour écrire, à Spilville, aux Etats-Unis, le troisième mouvement de son Quatuor à cordes n° 12 en fa majeur. Mais lequel ?