Après avoir évoqué le sort de la mer d’Aral, la violoniste et compositrice dépeint dans « Polygon » un ancien site d’essais nucléaires…
Galya Bisengalieva : blues atomique au Kazakhstan
Musique et nature, nature de la musique
Musique et nature, nature de la musique
Après avoir évoqué le sort de la mer d’Aral, la violoniste et compositrice dépeint dans « Polygon » un ancien site d’essais nucléaires…
Le musicien belge explique comment tous les titres de son nouvel album, « Club Copy », sont imprégnés de ses questions du moment, notamment à propos du changement climatique…
La prochaine édition du concours aura lieu les 2, 3 et 4 novembre 2023. 357 artistes sonores ont proposé une œuvre ; 49 productions ont été retenues.
Les deux chanteuses s’insurgent contre la multiplication des fermes piscicoles dans les fjords islandais.
La Commission européenne vient d’adresser un avis motivé à la France, parce qu’elle n’a pas adopté assez de plans d’action contre le bruit.
« Avec ce disque, je voulais que la musique reflète la nature » a expliqué le chanteur, Jack Cooper, dans un communiqué de presse.
Le producteur de musique électronique est allé enregistrer dans une grotte sous le glacier de Zinal, à 2130 mètres d’altitude.
Comme John Luther Adams, Bernard Foccroulle fait entrer dans la musique classique d’aujourd’hui les mots des crises que nous traversons.
Pang était le seul groupe qui pratiquait un « rap bio », cocasse et toujours positif. Retrouvez ses clips à propos du compost, du vélo, des yourtes…
Le label Un je ne sais quoi réédite en cassette audio « Le jardin perdu », un recueil de chansons françaises minimalistes qu’Antoine Bellanger a sous-titré « L’album qui sauvera le monde ».
Pour « Memories », la harpiste a choisi une double thématique, celle des souvenirs et celle – bien plus risquée – de la nature sauvage, et fait appel à la compositrice canadienne Eileen Padgett.
A Boulogne-Billancourt, la Seine Musicale vient d’inaugurer une installation d’Alexandre Lévy, « L’arbre à frôler ». L’occasion de revenir sur les expérimentations menées depuis plus d’une décennie par la compagnie aKousthéa pour rapprocher dans un même mouvement le public de la nature et de la musique contemporaine…
Le trompettiste de Manchester explique comment il a placé des microphones devant ses fenêtres et écouté le chant des oiseaux et les sons de la nature tout en composant.
Sur « Thank you tree », la pianiste israélienne multiplie les performances décalées et les références surprenantes.
Un livre dont on connaît la fin dès le début (les deux concurrents s’allieront et deviendront les plus merveilleux ambassadeurs des oiseaux en France) mais dont on apprécie chaque péripétie…